Wall Street English Tunisia
La langue anglaise est un atout incontournable que tout étudiant ou employé doit maîtriser, la 3ème langue maternelle sur le plan mondial après le chinois et le hindi, mais qui est parlée par 75% de pays dans le monde et représente la première langue du business.
Pour améliorer le niveau de l’anglais des Tunisiens, une nouvelle école s’est implantée au cœur des Berges du Lac à partir du mois de novembre 2017. Il s’agit de Wall Street English Tunisia. Cet espace moderne admirablement conçu, a ouvert ses portes, enrichissant ainsi la liste de Wall Street English qui compte 400 centres répartis sur 28 pays aux quatre coins du monde.
Wall Street English est beaucoup plus qu’une école de langues, c’est plutôt une institution qui a à son actif 45 ans d’expérience et qui fait le pari, à travers sa méthode unique, d’approfondir et de consolider les connaissances de 2 millions d’étudiants par an, dont les plus jeunes ont à peine 17 ans.
Les Tunisiens ont désormais eux aussi l’opportunité de tirer profit des formations personnalisées et sur mesure. En effet, des professeurs et des coachs spécialisés en pédagogie et en langue anglaise sont disponibles quotidiennement pour accompagner les apprenants pas à pas dans l’évolution de leur apprentissage de la langue anglaise.
En marge d’une conférence tenue aujourd’hui, une enquête élaborée par Wall Street English en collaboration avec la startup Evey qui fait du sondage en temps réel, a été présentée. Le but est d’avoir une idée sur le niveau des Tunisiens en langue anglaise. Pour ce faire, 600 individus sur le Grand-Tunis ont été questionnés.
Les résultats de cette enquête ont fait ressortir que 36% des Tunisiens ont besoin d’avoir des connaissances en anglais pour les voyages touristiques, 23% ont en besoin pour étudier à l’étranger, 20% des personnes interrogées veulent l’apprendre parce qu’elles souhaitent immigrer alors que 11% uniquement des sondés désirent avoir des connaissances en langue anglaise pour faire des affaires avec des entreprises internationales.
Intervenant dans ce même contexte, Dhia Ben Letaifa, CEO Wall Street English Tunisia, estime que l’amélioration du niveau en langue anglaise pourrait apporter ses fruits sur le plan économique dans la mesure où il s’agit de la langue de communication par excellence qui permet aux entrepreneurs tunisiens d’attaquer des marchés internationaux et d’attirer plus d’investisseurs et de touristes.
Par ailleurs, cette étude a montré que seulement 25% des interviewés maîtrisent la langue anglaise, 40% ont un niveau moyen et 30% des sondés ont un niveau inférieur à la moyenne. Certaines personnes apprennent la langue anglaise en faisant recours à la méthode classique, c’est-à-dire durant leur parcours académique. Parmi ces derniers, 45% ont un niveau moyen, 35% ont un niveau inférieur à la moyenne en termes de connaissances en langue anglaise et 18% ont un bon niveau en anglais. Quant au taux des autodidactes férus de chaînes TV en langue anglaise et de chansons anglaises, il est en augmentation sensible.
A ce stade, l’enquête a démontré qu’un niveau moyen en anglais n’est pas suffisant pour pouvoir développer des affaires, étant donné que plus de la moitié des personnes interrogées ayant affirmé avoir un niveau moyen en anglais ont réellement raté des opportunités parce qu’ils maîtrisent mal la langue.
Interprétant les résultats de l’étude, 3 profils majeurs sont ressortis. Il s’agit du profil de l’étudiant, du profil d’une personne à mi-carrière c’est-à-dire qui a son premier emploi et du profil des personnes les plus avancées dans leurs carrières. Ces différents profils font face à plusieurs contraintes devant l’apprentissage de la langue anglaise dont notamment le temps et le coût des formations.