En Tunisie, près de 1 000 projets publics sont bloqués, affectant des secteurs essentiels tels que l’éducation, la santé et les infrastructures.
Pour accélérer leur achèvement, la présidence du gouvernement a publié la circulaire n°27 de 2024, initiant des réformes pour lever les obstacles juridiques et administratifs freinant l’investissement.
Habib Dridi, président de la Commission de suivi et de révision des marchés publics, a annoncé que 500 projets ont été débloqués grâce à des mesures concrètes.
Parmi elles, l’assouplissement des garanties pour les entreprises, l’injection de liquidités supplémentaires et des négociations avec les bailleurs de fonds pour ajuster le financement.
Des chantiers majeurs, tels que le réseau ferroviaire Tunis-Manouba et les hôpitaux de Gafsa et Kairouan, ont redémarré, relançant des projets essentiels à l’économie.
Cependant, 500 autres restent en suspens, souvent en raison des difficultés financières des entreprises, de problèmes fonciers ou d’autorisations environnementales.
Les réformes en cours visent à surmonter ces blocages et à impulser un nouvel élan pour le développement du p