Selon le rapport “African Founders Wellbeing Survey Report”, 86% des fondateurs de startups technologiques africains rapportent un impact significatif sur leur bien-être, faisant face à des niveaux élevés de stress, d’épuisement et d’anxiété, et 78% affirment qu’être fondateur est un travail solitaire.
Un autre problème est que les fondateurs discutent rarement du stress. Seuls 14% sont extrêmement ouverts avec les autres, et 1 sur 4 consulte un thérapeute ou un coach.
Les femmes, en particulier, rencontrent des facteurs de stress uniques. Elles ont 2,3 fois plus de chances de ressentir de la solitude ou de l’isolement, et 53% des femmes éprouvent la peur de l’échec, contre 33% des hommes.
Malgré tous ces facteurs, la grande majorité (81%) affirme apprécier le parcours de fondateur, et près des deux tiers préfèreraient lancer une nouvelle entreprise plutôt que de prendre un emploi si leur entreprise venait à échouer.
Cela témoigne de la résilience et de l’ambition des fondateurs de startups en Afrique, qui, malgré les défis, ont la capacité à surmonter les obstacles dans un environnement complexe et parfois hostile.