Les États-Unis et 17 autres nations ont récemment validé un accord international détaillé visant à assurer la sécurité de l’intelligence artificielle (IA), incitant les entreprises à élaborer des systèmes résistants à l’exploitation. Selon Forbes, cet accord, non contraignant, formule principalement des recommandations générales telles que la surveillance des abus liés à l’IA, la protection des données contre la manipulation, et l’évaluation des fournisseurs de logiciels. Parmi les signataires figurent les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Italie, la République tchèque, l’Estonie, la Pologne, l’Australie, le Chili, Israël, le Nigeria et Singapour.
L’objectif déclaré de l’accord est de sécuriser la conception des systèmes d’IA et d’établir des normes de sécurité dès la phase de conception, comme l’a souligné Jane Easterly, directrice de l’Agence de cybersécurité et de la cybersécurité américaine. Toutefois, il ne traite pas de questions controversées telles que l’utilisation appropriée de l’IA ou la collecte de données alimentant ces modèles.