A la fin de l’année, chacun d’entre nous se barde d’objectifs, en disant que cette année, c’est la bonne. Le temps passe vite et les résolutions seront ignorées dans les jours à venir. Et si on pensait plutôt à investir dans les compétences linguistiques en 2023?.
D’ailleurs, l’Agence tunisienne de coopération technique (ATCT) a indiqué que le Canada, la France et l’Arabie saoudite sont les principaux pays recruteurs des Tunisiens. Les domaines qui offrent l’employabilité sont notamment la médecine, le paramédical et l’ingénierie.
Selon les données de l’ATCT, il existe une augmentation du nombre de Tunisiens recrutés à l’étranger, enregistrant une hausse de 46% (3 281 recrutés) sur la période s’étalant de janvier à novembre 2022, par rapport à la même période de 2021 (2 248 recrutés).
La maîtrise d’une langue devient, aujourd’hui, un atout pour une carrière en Tunisie et un des freins pour accéder à un emploi multinational ou à l’etranger. Et puis, certains recruteurs exigent le plus souvent la maîtrise d’une langue associée à la langue du pays. Par conséquent, en regardant les chiffres de l’ATCT, deviner la langue à apprendre, dans l’intention de booster ses opportunités de recrutement (international) et se démarquer, est clair: l’anglais, le français et l’arabe.