Pour décrire la situation dans laquelle est le monde aujourd’hui, on utilise souvent le mot crise. Car, oui, il s’agit bel et bien d’une crise. Mais l’impact de cette situation n’a pas été forcément négatif pour tout le monde.
Au fait, pour 42% des startups sondées par Branper, la crise sanitaire a amorcé une accélération de leur activité. “Seulement” 29% des entreprises sondées affirment que la crise a eu un impact négatif sur leur activité ― dont 10% annonçant un arrêt total.
Pour la grande majorité des startups (63%), la crise n’a pas eu d’impact sur les emplois, contre 23% des startups indiquant avoir renforcé leurs équipes durant cette période. D’après l’enquête de Branper, seules 14% des startups ont dû licencier des employés pour faire face à la crise.
La crise n’a pas l’air de cesser prochainement, et toutes les startups n’ont pas les moyens de persister. Au fait, 83% des startups ne pourront persister au-delà de 6 mois si la crise persiste.
Si la crise persiste encore, 61% des startups tâcheront à adapter leur stratégie alors que 37% indiquent qu’elles continueront dans la même stratégie actuelle.
En ces temps difficiles, les startups ont dû bien dresser leurs priorités. Et d’après l’enquête de Branper, elles sont du nombre de 5 : trouver des clients, avoir des subventions, avoir accès au financement, le report des charges fiscales et profiter d’un accompagnement.