Une session de travail a été organisée mercredi 5 février 2025 sous la supervision de Hamadi Habaieb, secrétaire d’État chargé des ressources en eau. Cette réunion a réuni plusieurs partenaires institutionnels et internationaux, dont l’administration générale de la gouvernance et de la prévention de la corruption, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et l’Agence allemande de coopération au développement (GIZ).
L’objectif était d’évaluer l’état d’avancement de la plateforme de gouvernance des ressources hydriques et de la rendre accessible à l’ensemble des 24 directions régionales du développement agricole.
Actuellement présente dans quatre régions, cette plateforme vise à simplifier les procédures administratives, à réduire les délais de traitement et à lutter contre le forage illégal.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du plan d’exécution de l’initiative de gestion des risques de corruption dans le secteur de l’eau. La plateforme vise à faciliter l’obtention des autorisations d’exploitation des ressources hydriques, à encadrer les délais d’intervention pour chaque étape du processus administratif et à encourager les utilisateurs à respecter la législation en vigueur.
En renforçant la transparence et l’intégrité des services publics, la digitalisation de la plateforme permettra de réduire les coûts administratifs et de favoriser les investissements dans le secteur hydrique. Cette modernisation vise aussi à optimiser la gestion des