À l’occasion du 40ᵉ anniversaire du décès de Bechir Salem Belkhiria, figure majeure de l’économie tunisienne moderne, une cérémonie commémorative s’est tenue le vendredi 28 novembre, en présence de personnalités du monde économique, universitaire et institutionnel.
L’événement a été marqué par la projection d’un film inédit retraçant son parcours, ses valeurs et les principaux jalons de son action au service du développement national.
Un visionnaire qui a façonné une nouvelle approche du développement en Tunisie
Homme d’action, entrepreneur précurseur et promoteur infatigable du développement intégré, Béchir Salem Belkhiria a laissé une empreinte durable grâce à une vision résolument moderne et inclusive.
Ses engagements s’articulaient autour d’axes majeurs :
• La communication et la promotion d’une nouvelle culture économique.
• La création d’entreprises pilotes dans des secteurs stratégiques.
• Le lancement de projets modèles pour diffuser l’innovation dans les régions.
Bechir Salem Belkhiria est également reconnu pour avoir plaidé très tôt pour une ouverture économique de la Tunisie vers l’Asie du Sud-Est, une diversification des partenariats et une approche libérale éclairée.
Visionnaire et passionné de sport, il a introduit officiellement le rugby en Tunisie au début des années 1970. Son engagement déterminant a permis d’implanter ce sport, d’en structurer les premières pratiques et d’en favoriser l’essor au niveau national et international, et la Tunisie a joué dans la cour des grands.
Un événement pour transmettre et inspirer
Cette commémoration a visé à :
• Rappeler la contribution d’un bâtisseur engagé pour le progrès social et économique.
• Mettre en lumière les valeurs qui ont guidé son action : innovation, exemplarité, modernité et humanisme.
• Offrir aux nouvelles générations un modèle inspirant d’intégrité et de vision stratégique.
La projection du film-hommage a été suivie d’une discussion ouverte avec des témoins, experts et anciens collaborateurs, qui a permis d’enrichir la perspective historique et d’actualiser les enjeux portés par son œuvre.









