EY a annoncé, hier 17 avril, publiquement qu’elle prévoyait de supprimer 3.000 emplois aux États-Unis. Soit 5% de l’effectif du pays, a précisé EY dans un message adressé à l’AFP.
Les suppressions de postes “s’inscrivent dans le cadre de la gestion courante des activités” et “ne résultent pas de l’examen stratégique récemment achevé”, a fait savoir la direction. Le Big Four a pris cette décision notamment pour des raisons “économiques” et de “surcapacités”.