La crise des dernières années et l’accélération de la digitalisation a entraîné des bouleversements. Certains sont négatifs, et d’autres sont la création de nouvelles opportunités. Les influenceurs et le travail d’influence en font partie.
Ahmed Mahjoub, DG Wunderman Thomson Tunisie, a évoqué deux changements majeurs post COVID. L’un d’eux est l’accélération flamboyante du phénomène de livraison à domicile. Les services de e-commerce, livraison de plats à domicile ont beaucoup élargi leur marché par rapport à la période pré-pandémie. Également, l’accélération de la digitalisation des services permet désormais un choix diversifié de moyens et de supports de communication.
Guillaume Doki-Thonon, DG de l’agence Reech, donne quelques indications sur les données à suivre. Il cite le palier des 5 000 abonnés comme étant le palier à partir duquel les influenceurs commencent à recevoir des demandes de partenariat. Il affirme également préférer utiliser le terme de créateur de contenu plutôt qu’influenceur. En effet, le terme d’influenceur peut être connoté péjorativement, alors que le terme de créateur de contenu correspond mieux au rôle.